Vous avez besoin d’un soutien immédiat ?
Veuillez composer le 8-1-1 pour obtenir des informations et des conseils généraux sur la santé. Les membres des peuples autochtones peuvent aussi appeler la ligne d’écoute d’espoir pour le mieux-être au 1-855-242-3310.
De nombreuses personnes boivent de l’alcool parce que c’est considéré comme normal dans notre société et qu’on en sert régulièrement lors de célébrations et d’événements sociaux. Selon Statistique Canada, environ trois quarts des personnes vivant au Canada consomment de l’alcool. Or, l’alcool peut causer des dommages non seulement à la personne qui boit, mais aussi aux personnes qui l’entourent.
Si vous souhaitez en savoir plus sur les dernières directives canadiennes en matière de consommation d’alcool à faible risque et sur les recherches qui les sous-tendent, consultez le site Repères canadiens sur l’alcool et la santé ou encore le document Repères canadiens sur l’alcool et la santé : rapport final. Ce rapport est destiné aux professionnels de la santé, aux scientifiques et aux décideurs politiques, mais il pourrait également vous intéresser.
De nombreux facteurs, dont certains échappent à notre contrôle, peuvent avoir des effets positifs ou négatifs sur notre santé. Ces facteurs sociaux, économiques et environnementaux sont appelés « déterminants sociaux de la santé ».
Voici quelques exemples de déterminants sociaux de la santé :
Les expériences vécues pendant l’enfance, l’accès à la communauté et l’existence d’un réseau de soutien composé de membres de la famille ou d’amis peuvent également faire une grande différence sur le plan de la santé. Il en va de même pour tout problème de santé mentale, comme la dépression ou l’anxiété, et tout autre problème de toxicomanie avec lequel une personne est aux prises.
Tous ces facteurs peuvent vous empêcher d’être en bonne santé et de le demeurer. Ils peuvent également augmenter le risque de développer un problème avec l’alcool ou les drogues.
Les raisons qui sous-tendent nos choix et nos actions sont complexes et dépassent souvent le concept simpliste de « bonnes » ou de « mauvaises » décisions. Par exemple, la recherche montre que les Canadiens et Canadiennes à revenu élevé sont souvent en meilleure santé que les personnes à faible revenu, non pas parce qu’ils font toujours les « bons » choix, mais plutôt parce qu’ils bénéficient d’avantages tels qu’un accès plus facile aux soins de santé, à l’éducation, à des aliments nutritifs à distance de marche, à des conditions de vie plus sûres, etc.
Pour en savoir plus sur les déterminants sociaux de la santé, consultez la page Web du gouvernement du Canada.
Vous trouverez ici de plus amples informations pour obtenir de l’aide à cesser ou à réduire votre consommation d’alcool en toute sécurité :
Jour 1
Jour 2
Jour 3
Jour 4
Jour 7
1 à 2 semaines après l’arrêt de la consommation d’alcool
3 à 4 semaines après l’arrêt de la consommation d’alcool
1 mois après l’arrêt de la consommation d’alcool
3 mois après l’arrêt de la consommation d’alcool
1 an après l’arrêt de la consommation d’alcool
J’ai gardé dans ma vie les personnes qui ont une influence positive et je me suis détournée de celles qui étaient toxiques. Mes relations sont bien meilleures qu’auparavant. On peut compter sur moi et me faire confiance, je suis capable d’aider et d’écouter.